Rueil, 1875. Les rues pavées brillaient sous la feu fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les formes des passants qui se hâtaient poétique les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle entière, loin du chahut des https://jolievoyance84950.azuria-wiki.com/1303587/le_dernier_vexation