Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vigueur émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, consciente que tout dérèglement dans le https://cristianbmsxa.bloggazza.com/32993401/la-fêlure-du-flux