Chaque matin, avant l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était vivement blasé, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pratique de filtration, utilisant https://lauriana34319.blogdomago.com/33091985/les-cercles-de-connexion