Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rondelette au coeur de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une respiration lente, une règle apparue d’un fait ancestral répété sans fin. https://jaredfvhra.imblogs.net/83878725/les-lignes-qui-persistent